En prévision du projet de réaménagement des espaces rue du Taur, la bibliothèque de la Cinémathèque de Toulouse est fermée au public jusqu’à la fin des travaux. Nous vous remercions de votre compréhension.
La Fureur de vivre (Rebel Without a Cause)
Nicholas Ray. 1955. USA. 111 min. Coul. DCP. VOSTF.
Le film qui a fait la légende, en CinémaScope et couleurs, de James Dean ; à moins que ce ne soit l’inverse, l’idole des jeunes se tuant au volant de sa Porsche avant même la sortie du film. Mais c’est bien Nicholas Ray qui est aux commandes : la couleur et la confrontation au monde, la rébellion à un ordre quel qu’il soit. Un film qui étonne encore par son intensité : toutes les scènes sont un climax. Détachez vos ceintures, c’est reparti pour une course dite de la poule mouillée. La course-poursuite de Jimmy l’éthylique et de Natalie Wood la fugueuse. La fureur de rebelles sans cause, celle qui fait les immortels.
précédé de
Andréas Voutsinas au sujet de James Dean
Pierre Beuchot. 1973. Fr. 5 min. ORTF.
Un extrait de l’émission « Le mythe de James Dean : À l’est d’Eden » daté du 18 janvier 1973. L’acteur, metteur en scène de théâtre et professeur d’art dramatique Andréas Voutsinas raconte sa première rencontre avec James Dean à New York, qui venait de finir de tourner À l’est d’Eden (1955). Voutsinas confirme l’incroyable talent du comédien tout en détaillant le côté provocateur de l’acteur, anecdote à l’appui.
